Cannes – jour 2 : sable, violence et lepreux
Dans le prolongement de l’ouverture du festival, marquée par un Farhadi assez moyen, la seconde journée de compétition cannoise a légèrement déçu. On peut espérer une lente montée en puissance des films proposés. Précisons d’emblée qu’au moment d’écrire ces lignes, nous n’avons pas encore vu Leto de Kirill Serebrennikov, qui s’annonce tout à fait époustouflant. Un petit vent d’émotion a saisi une partie de la Croisette au moment de la…