[🇬🇧] Öndög by Wang Quan’an : In the Mongolian Steppe…
A complete cinematic experience. The kind of movie perfectly suited for a festival. I was so grateful for the size of the screen so I could be submerged by the visual experience of this film. It was also a very welcome emotional Xanax after the labor of the first 3 films… This one didn’t even have an abused child in it… Stop now if you don’t want to know more.…
[🇬🇧] Grâce à Dieu by François Ozon : If only it was a better film
Turns out child abuse is the hot trend of the festival… I hadn’t realised that when I saw this though, I was voluntarily uninformed and therefore wholly unprepared for the subject matter. Turns out I actually appreciated what it laboured to say and show about a deep running trauma that still seems much too far from the public conversation. Unfortunately I didn’t appreciate the filmic side of this picture as…
Berlinale #3 : Emportée par les flots
Ce samedi matin, il fait gris et il pleut sur Berlin… Alors, très vite, je suis rattrapée par ma lumino-dépendance. La journée d’hier a été dure dans ce qu’elle a charrié d’émotions et de souvenirs. Une enfant ballotée par le système, traumatisée et perdue, que les adultes essaient d’aider mais n’écoutent jamais. Une enfant fragile mais effrayante, véritable bombe à retardement, dont la présence demeure une menace permanente et bien…
Berlinale #2 : Intime expérience
En commençant ce journal, je me demandais quelle forme je voulais lui donner, quel ton adopter, mais surtout que vous raconter exactement de la Berlinale. Je craignais les lieux communs, les redites, la fausse suffisance comme la fausse pudeur. J’avais peur de me laisser parasiter (voir Berlinale #1). Je redoutais de sombrer dans de vieux réflexes, dans des facilités d’écriture, de vous proposer à mon corps et mon cœur défendant…
Berlinale #1 : Vibrante lumière
Les Ecrans Terribles ont commencé leur vie en force : le jour de l’ouverture du Festival de Cannes 2018. Sous le soleil exactement ! Et c’est sous une lumière digne d’un ciel de printemps que j’approche en ce jeudi 7 février 2019 de la salle où se déroule la première projection de la Berlinale. Alors, je vous vois venir tout de suite : rolala, encore un journal de bord festivalier à la con où…