Sofia Djama : « Il y a de la tragédie à Alger, c’est un grand théâtre »
Les Bienheureux, le premier long métrage de l’algérienne Sofia Djama, baguenaude entre nostalgie, tension et légèreté dans une Alger labyrinthique. A l’occasion de son passage au Black Movie de Genève en janvier dernier, discussion avec une réalisatrice autodidacte, de la découverte du cinéma en VHS aux paradoxes de l’Algérie moderne, en passant par les clips « gênants » de The Blaze et la Movida algéroise. Par Matthieu Rostac, à Genève Les Bienheureux raconte…